Vacances en famille
A ma famille, ma raison d’être
Comment ne pas Vous dire à pleins poumons, à gorge pleine crier le bonheur et l’impatience qui me gagnent à mesure que le temps me rapproche de votre visite. En ces instants, je ne veux plus rien, sinon votre présence à mes côtés et ces vers vous dédier :
Nuit ressuscitée quand je vous attire sous mes paupières,
Epiant votre sourire, qui pénètre mes os jusqu’à la chair,
Mendiant le sommeil pour en mes rêves vous retrouver,
Je m’en vais à votre souvenir goûter la douceur de l’éternité.
Dans le jour de vos yeux, m’éveiller
Et dans le giron de leur soleil, me lover
Courtiser, avec votre amour pour pèlerine,
Vos fleurs auxquelles ma bouche, abeille, se destine.
L’air que je respire est trop rare sans vous,
Et en quête de baisers, je vous tends ma joue.
Nous sommes étincelles d’un même feu,
Et un même souffle nous écrit dans l’encrier des cieux.
Chers Amis lecteurs,
Ma plume, en villégiature elle aussi, prend donc congé,
Mais grand plaisir aurais-je dans quelques semaines à vous retrouver.